Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

PrÉSentation

  • : Syndicat SUD Autoroutes
  • : Actualités, syndicalisme, au détour des Autoroutes Paris Rhin Rhône... Ce blog est en constante évolution : nombreuses mises à jour quotidiennes.
  • Contact

P M V

 


   
Délégué Syndical Central
 Pascal GRAPPIN
36, rue du Docteur Schmitt 
21850 Saint-Apollinaire
 
 


    (Cliquez sur l'image 
      pour agrandir)
.

Tél. 06 46 09 47 19

       03 80 77 67 18
Fax.03 80 66 66 70 
         
Qui sommes nous ?  
 
                                             

 CE 

CHSCT 

   DP Paris    

   DP Rhin    

   DP Rhône    

Présentation 

 solidaires

Réseau SUD

 
Subir, n'est pas une fatalité.
Si vous souhaitez obtenir des
solutions concrètes à vos problèmes,
comme par exemple :
- emploi,
- salaires,
- conditions de travail,
- protection sociale,
- égalité professionnelle,
- respect de la dignité de chacun.
SUD peut faire bouger les choses,
pour faire aboutir vos revendications
et vos attentes.
REJOIGNEZ-NOUS. ENSEMBLE
NOUS SERONS PLUS FORTS ET
PLUS EFFICACES.
Fabienne+SloganFdTransparent +ilsSontVos... 
 

Aire &Quot;D'Archives&Quot;

 
 Aprr72ppp

SUD signataire de la dernière négociation NAO

DerniÈRes Infos

22 octobre 2007 1 22 /10 /octobre /2007 00:40
Les 9 propositions de l'ASFA (Association des Sociétés Françaises d'Autoroutes) au Grenelle de l'environnement. La proposition N° 5 ne surprendra personne, la perche était si facile à prendre pour l'ASFA (APRR, ASF, AREA, SANEF, SAPN, Cofiroute, Escota) mais cela ne vient que confirmer nos craintes sur la filière péage.

 



Partager cet article
Repost0
25 août 2007 6 25 /08 /août /2007 00:25
 
Souhaitez "Bonne fête" aujourd'hui à  Louis.
 
Bourse  :   73,75 €   90,00 €
 

 SUD SANEF : eek est SEUL à dire non à la suppression de 250 emplois. 


Rentrée : les syndicats font monter la pression.
Education : les syndicats sortent les stylos piques.
Ouvriers polonais: le "patron voyou" mis en examen .
Partager cet article
Repost0
7 mai 2007 1 07 /05 /mai /2007 12:21

 

Manifestation au péage de Villefranche-Limas

Des employés des sociétés d'Autoroute Paris-Rhin-Rhône (APRR) et Aréa dénoncent la dégradation de leurs conditions de travail
A l'appel du syndicat eek autoroute, quelques dizaines d'employés syndiqués des sociétés d'Autoroute Paris-Rhin-Rhône (APRR) et Aréa, ont manifesté hier de 10 heures à 14 h 30 au péage de Villefranche-Limas. L'opération s'est déroulée dans le calme. Les manifestants ont distribué des tracts. Ils devaient également tenter une levée des barrières pour rendre gratuit l'accès au péage.
« Le mouvement a lieu sur l'ensemble du réseau géré par APRR et Aréa. Depuis la privatisation de ces entreprises et le rachat par le groupe Eiffage, les conditions de travail se dégradent, notamment en raison de la montée en puissance de l'automatisation des voies de péage par le biais du télépéage. Le but : le tout automatique d'ici 2010-2012 », mentionne Jean-Pierre Campanato, délégué syndical central de eek autoroute. Le syndicaliste, enfin, précise qu'une offre publique d'échange (OPE) est actuellement en cours, lancée par le groupe Sacyr sur Eiffage : « Si cela ne fonctionne pas, cela peut se transformer en OPA avec pour risque de voir les autoroutes SAPPR et Aréa devenir la possession des Espagnols ». Christophe Gallet  
Péage en partie gratuit à Beynost
L'appel à la grève du syndicat Sud Autoroutes a été entendu. Des salariés ont fait des opérations de gratuité pendant 24 heures depuis hier et jusqu'à ce matin
Quelle ne fut pas la surprise d'un usager de l'autoroute A42 de passer au péage de Beynost gratuitement. La péagiste, gréviste solidaire avec d'autres employés, notamment ceux de Villefranche/Limas, a apposé une affichette signalant qu'elle est en grève. Cet employée a répondu à l'appel à la grève lancé par le syndicat eek Autoroutes pour 24 heures du 4 mai à 4 heures jusqu'au 5 mai à 5 heures auquel des syndicalistes de  ont apporté leur soutien.
Emplois, salaires, conditions de travail, restructurations en cours, avenir de l'entreprise font partie des revendications des salariés qui font des opérations de gratuité de certains postes de péage sur tout le secteur des autoroutes Paris-Rhin-Rhône.
 

 

Partager cet article
Repost0
12 avril 2007 4 12 /04 /avril /2007 00:56

 

 Souhaitez "Bonne fête" aujourd'hui à Jules.

1869 Henri Landru, criminel.

 

Le Pdg d’Eiffage justifie le versement des 195.000 actions gratuites.

écouvrez les réactions des abonnés du Monde.fr à la lecture de cet article.

 

 

 

Un patron se paie en cash…

En février 2006, Antoine Zacharias, évincé de la présidence de
Vinci, assigne le groupe de construction devant le tribunal de commerce de Nanterre pour demander une indemnisation record de 81 millions d'euros. Il obtiendra finalement 13 millions d’euros, en juin 2006.

…ou en actions

Jean-François Roverato, PDG du groupe de BTP français
Eiffage, n’est pas en reste. Il a touché, en 2006, 1,8 million d’euros. Bien que très confortable, sa rémunération se double de 126.000 actions gracieusement offertes, qui représente 23 millions d’euros, après en avoir reçu 75.000 en 2005.
En 2002, Jean-Marie Messier, patron de
Vivendi, réclame 20,5 millions d’euros d’indemnités. La justice l'empêchera finalement de les toucher

Partager cet article
Repost0
12 mars 2007 1 12 /03 /mars /2007 00:31
Enquête : Premier bilan de la privatisation
  1. AUTOROUTES : LE GRAND DERAPAGE
En voici quelques extraits : Pour l’intégralité du dossier,
procurez vous le dernier
AUTO PLUS du 06 mars 2007
 N° 965 (pages 68 à 74).
Autoplus dénonce des hausses de prix souvent excessives : Le business des autoroutes se porte bien, merci. Pactole assuré pour les actionnaires : des tronçons ont vu leur tarif multiplié par quatre par rapport à la moyenne nationale. Les bénéfices n’en finissant pas de croître : + 35% chez Aprr.
Services : la dégradation est déjà sensible. Equipements au rabais et réduction de personnel sont les premières conséquences visibles. Ce qui n’est pas sans risques pour la sécurité. Les problèmes se multiplient, comme le 29 Juin dernier sur Aprr au péage automatique de Montigny-le-Roi (A31) où le blocage d’une barrière a provoqué un embouteillage remontant jusque sur l’autoroute !
107.7 autoroute info est muselée et aux ordres d’Aprr. Les effectifs ont fondu au détriment de l’information de proximité, notamment en cas d’accident.
Essor du Télépéage = moins de péagers aux caisses. Les employés sont en sous effectif = + de files d’attente.
Nouvelle tendance : recours à la sous-traitance, avec un risque d’allongement du délai d’intervention notamment pour le salage ou le déneigement des voies.
a9.patro.d5flash.jpg (11177 octets)Moins de Patrouilleurs. Le nombre d’employés est réduit partout au strict minimum avec des conséquences sur la surveillance et la sécurité (voiture en panne, objet sur chaussée..) Délais d’intervention + longs etc… Omniprésence de la vidéo-surveillance : elle permettra de supprimer encore + de patrouilles.
Le règne du tout-automatique : En cas de souci, il faut attendre pour être dépanné !
Le péage du futur sera tout automatique.
Placé sur un portique, un scanner lira les plaques d’immatriculation. La facturation arrivera ensuite directement à domicile… c’est le système Free-Flow. Généralisation du paiement automatique (moins coùteux que des salariés): des sorties d’autoroute sans la moindre présence humaine.
 
 
 
En résumé :  la casse sociale entraîne aussitôt les gênes pour l'automobiliste... et tout ça va se multiplier...affraid
Interviews: jean Pierre Campanato

 

Délégué syndical Central SUD Chez Aprr et secrétaire général du syndicat SUD AUTOROUTES

 L’automatisation des péages va-t-elle se généraliser rapidement ?

eek    J-P-C : Le mouvement s’accélère nettement, contrairement aux promesses qui nous avaient été faites, notamment celle qu’il n’y aurait pas de casse sociale. Et tout cela se fait du jour au lendemain, sans explications. D’ici à 2008 ou 2010, tous les péages seront concernés ! Il n’y aura bientôt plus personne dans les gares.

 Pour les automobilistes, cela remettra-t-il en cause la qualité du service et, donc la sécurité ?

 eek    J-P-C : On est évidemment en droit de douter que cette absence de personnel sera bénéfique aux conducteurs ! Le trafic autoroutier ne fait qu’augmenter, les prix aussi. Et, pourtant, le personnel est remplacé progressivement par des caméras. Avec moins de moyens et moins d’employés, nous essayerons de faire aussi bien. Mais pas mieux, comme certains voudraient le faire croire.


 

 

Partager cet article
Repost0
23 février 2007 5 23 /02 /février /2007 00:28
Je pars quelques jours, bonnes vacances à tous !Je pars quelques jours, bonnes vacances à tous !
 

Partager cet article
Repost0
19 septembre 2006 2 19 /09 /septembre /2006 00:23

news-1.jpgSouhaitez "Bonne fête" aujourd'hui à Emilie.

Né(e) un 19 Septembre

1951 Marie-Anne Chazel, actrice : Le père Noel est une ordure, Les Visiteurs, La vengeance d'une blonde,...

Cette année là... 

2003 Un conducteur de train en heures supplémentaires, scupuleux de l'application des lois fédérales américaines régissant le nombre maximum d'heures au-delà duquel les conducteurs de trains doivent être remplacés, arrête son train de fret ... au beau milieu d'une intersection dans le centre-ville Pottstown, USA et bloque la circulation pendant deux heures jusqu'à l'arrivée d'un nouveau conducteur.

Aprr La bourse, dernière cotation : 59,00 €

61% des internautes considèrent la question des régimes spéciaux de retraite comme un enjeu important mais pas prioritaire.

Les syndicats des Autoroutes Paris-Rhin-Rhône déclenchent le droit d'alerte

DIJON (AFP) - Les élus du personnel de la société des Autoroutes Paris-Rhin-Rhône (Paris: FR0006807004 - actualité) (SAPRR), inquiets pour l'avenir de l'entreprise rachetée par le consortium Eiffage (Paris: FR0000130452 - actualité) -Macquarie, ont déclenché vendredi le droit d'alerte, a-t-on appris lundi de sources syndicales.
L'entreprise compte 3.200 salariés.

La procédure permet la désignation d'un expert qui a pour mission d'obtenir des réponses.

Les élus s'inquiètent également de la possible expérimentation de gares de péage sans barrières et sans agents, dites "en flux libre".

La direction du groupe APRR, dont le siège est à Saint-Apollinaire (Côte-d'Or), n'a pas souhaité faire de commentaire. Le groupe, privatisé le 20 février dernier, comprend la SAPRR, les Autoroutes Rhône-Alpes (AREA) et des radios autoroutières, soit quelque 4.500 salariés.

Partager cet article
Repost0
29 juin 2006 4 29 /06 /juin /2006 18:00

MARIANNE N° 466 du 25 au 31 mars 2006      PARTIE 1 sur 2

Privatisation des autoroutes : FROMAGES…ET DESSERTS

Le seul perdant dans l'opération, c'est l'Etat… Les intérêts privés des uns et des autres ont été, eux, royalement servis, au mépris de toute morale. Explications. Par Jean-Claude Jaillette


Qu'on se le dise, il y a une vie après la présidence d'une société d'autoroute récemment privatisée. Une vie dorée sur tranche même. Pleine de parachutes de la même couleur. Une vie qui devrait faire grincer des dents tous ceux qui, aujourd'hui, manifestent contre le CPE, contre la précarité et contre
la répartition de plus en plus scandaleuse des profits des entreprises. La preuve par Rémy CHARDON, remplacé voici quelques semaines à la tête d'Autoroutes Paris-Rhin-Rhône (APRR) par le PDG d'Eiffage en personne, le groupe repreneur. A peine débarqué, il a rejoint, en tant que conseiller en stratégie et développement, un groupe espagnol spécialisé dans le transport en conteneurs vers l'Afrique, le groupe Progosa. Autant dire qu'il passe d'un des plus beaux fromages de la République à un autre fromage, privé celui-là, tout aussi gras. Rien que de très normal, dira-t-on, pour un homme habitué des présidences lucratives : l'Association des sociétés françaises d'autoroutes, l'Association des sociétés européennes concessionnaires d'autoroutes à péage, etc. C'est oublier un peu rapidement que Rémy CHARDON, outre qu'il est très proche de Jacques CHIRAC, était président de la Société d'exploitation du Tunnel du Mont-Blanc au moment de l'incendie meurtrier, en 1999. Et qu'à ce titre il a été condamné en juillet 2005 à deux ans de prison avec sursis et 15 000 € d'amende pour avoir fait preuve de négligence dans la mise en œuvre de la sécurité dudit tunnel. Et que, malgré cette condamnation qui planait, il a occupé à partir de 2000 tous ces postes juteux, parfois simultanément. Seule la morale y trouvera à redire, car, après tout, son statut de préfet en disponibilité ne le conduisait pas à tomber sous le coup des règles concernant les cumuls des agents de l'Etat. Pourtant…

Million d'€uros et superpromo

Cerise sur le gâteau des privilèges, déjà bien considérable : pour honorer dignement son départ de sa présidence, le conseil d'administration d'APRR du 20 février dernier a accordé à son ancien PDG une indemnité de départ fixée à trois années de salaire brut (hors primes liées au résultat). Soit, sur la base   des   rémunérations   brutes   perçues  en   2004,  environ un demi million d'euros (soit 3 280 000,00 Francs hors primes liées au résultat). " Je m'y étais engagé il y a six mois, a commenté Jean-François ROVERATO, PDG d'Eiffage, je ne reviens pas sur ma parole." Six mois ? Autrement dit, quelques mois avant même la désignation du repreneur par le gouvernement. De là à imaginer que les promesses faites aux dirigeants de l'entreprise convoitée ont contribué à éloigner les concurrents, le groupe espagnol Cintra notamment, il n'y a qu'un pas, que nous nous garderons de franchir…

 

 

Un sort, tout aussi enviable, a été réservé au numéro deux d'APRR, Jean DETERNE, directeur général délégué, inspecteur général des Ponts en disponibilité : un peu moins d'un demi million d'€uros !  Le PDG de la filiale d'APRR, AREA, passée elle aussi sous la coupe d'Eiffage, n'a pas bénéficié des mêmes privilèges, pas plus que son directeur général, Pierre RIMATTEI. Sans doute leur statut d'inspecteurs généraux des Ponts détachés de leur corps les a-t-il desservis. En effet, ils réintègrent d'office leur corps d'origine. Profiter des règles en vigueur dans les grandes entreprises privées et des avantages des fonctionnaires aurait froissé leurs collègues en poste dans la fonction publique. Le Conseil d'Etat a déjà eu à juger de telles situations, dans les années 90 notamment. Gilbert SANTEL n'est pourtant pas à plaindre : il s'apprête à s'asseoir dans le fauteuil de vice-président du très puissant Conseil général des ponts et chaussées, chargé de l'urbanisme. Une super promo en quelque sorte ! (Fin de la partie 1)

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
29 juin 2006 4 29 /06 /juin /2006 17:02

MARIANNE N° 466 du 25 au 31 MARS 2006        2ème PARTIE de l’article

Privatisation des autoroutes : FROMAGES… ET DESSERTS

Quand l'Etat se soumet…

Quelque peu surpris, un administrateur présent au cours de cette séance, Robert GALLEY, ancien Ministre chiraquien des Transports et de la Défense, se serait inquiété, selon nos informations, du sort réservé au personnel plus modeste : "Auront-ils droit eux aussi à une prime de privatisation ?" Rien n'est moins sûr. L'inverse est d'ailleurs plus probable, puisque les syndicats d'APRR redoutent, comme ceux des autres sociétés d'autoroutes privatisées, une course à la productivité ponctuée de suppressions de postes. Les salariés apprécieront donc que ceux qui ne se sont opposés en rien à une privatisation pourtant contraire à la parole donnée par le gouvernement précédent soient ainsi remerciés. La pilule est d'autant plus amère que les postes de dirigeants de sociétés d'autoroutes étaient parmi les plus convoités par les éminences de la République. Officiellement, les salaires ne pouvaient pas dépasser le double du salaire de base pratiqué dans les corps d'origine. En réalité, ils franchissaient allégrement la barre, avec la bénédiction du ministère des Finances. Chez APRR, il sembleraient même que, quelques mois avant la privatisation, les rémunérations des quatre hauts fonctionnaires détachés ou en indisponibilité aient bénéficié d'un coup de pouce de près de 30 %. Histoire d'acheter la garantie d'une transaction sans heurts ? A Autoroutes du Sud de la France (ASF), réseau -le premier de France- passé sous contrôle du groupe VINCI, l'arrivée du nouveau propriétaire a été moins brutale quoique tout aussi avantageuse pour ceux qui ont su ne pas protester du manque de concurrence ayant entouré la privatisation de leur entreprise. Avec comme conséquence une absence d'enchères qui auraient pu faire grimper la valeur d'ASF… et gonfler les caisses de l'Etat. Car, contrairement aux ambitions affichées par le gouvernement, Vinci a été le seul prétendant au premier réseau autoroutier français, écrasant de sa puissance et de sa connaissance du dossier tous les adversaires potentiels. Selon une source proche du dossier, les salariés administrateurs d'ASF viennent de bénéficier de promotions exceptionnelles sans rapport avec le poste qu'ils occupaient jusqu'alors. L'un d'entre eux, sur le point de partir à la retraite, s'est vu gratifier d'un parachute en platine. Enfin, cinq hauts cadres de Vinci ont été priés de céder leur place à cinq cadres tout aussi haut placés dans la hiérarchie d'ASF;

Avis donc, aux usagers des futures autoroutes privatisées ! Il leur faudra se souvenir des cadeaux faits à ceux qui, envoyés en mission par l'Etat, étaient censés défendre le service public. Ils n'ont pas bronché à l'heure des choix. Ils ont été remerciés….grassement  ¢

 

 

 

 

 Commentaire du syndicat SUD Autoroutes : cet article du magazine MARIANNE est éloquent, il reprend point par point nos inquiétudes et dénonciations des mois passés. A côté d’un demi million d’euros octroyé à nos anciens PDG et DG, la « primette » de 1000 euros signée par CFDT, CGT, FO, FAT, CGC et CFTC a piètre allure, elle résonne même comme une véritable provocation… A l’heure où tant de salariés, entre autres des péages, s’angoissent pour leur avenir, on remarque que d’autres filent des jours heureux, le Conseil d’Administration quant à lui (où siège pourtant de prétendus « représentants des salariés ») n’a pas bronché. Cet article aura au moins pour mérite de démontrer aux plus récalcitrants que les positions exprimées par SUD depuis juin 2005 étaient les bonnes, celles qu’auraient dû défendre l’ensemble des organisations syndicales, mais ce ne fut hélas pas le cas… Dans tous les cas, chaque salarié pourra désormais juger.

 

Partager cet article
Repost0